L’alchimie Blanche est une voie initiatique qui permet d’éclairer le chemin vers le Soi, de découvrir son don, sa mission d’incarnation.
L’ Alchimie Blanche vous invite à explorer un chemin de développement personnel inspiré des traditions alchimiques, réinventées au service de l’éveil contemporain. Ce livre commence par un test intuitif et révélateur qui vous permet d’identifier l’étape alchimique (Œuvre au noir, au blanc, au jaune, ou au rouge) dans laquelle vous vous trouvez actuellement. Une boussole pour engager un travail intérieur juste, personnalisé et profond.
À travers des textes inspirants, des clés symboliques, et une approche sensible du processus de transformation, les autrices vous accompagnent pas à pas dans ce voyage alchimique moderne.
Et ce n’est que le début… L’Alchimie Blanche s’ouvre aussi sur le vivant : des ateliers créatifs sont proposés avec les autrices pour prolonger l’expérience par la pratique picturale. Un espace d’expression libre, sensorielle et symbolique pour mettre en couleur votre propre métamorphose.
Grâce à un medium pictural et à des techniques énergétiques, les visages de notre inconscient peuvent apparaitre sur la toile. Ce sont autant des petits cailloux que nous avons laissé inconsciemment sur notre route, tels les pièces essentielles de notre puzzle à reconstituer.
Redécouverte au prisme de la psychologie moderne par Carl Gustav Jung (médecin psychiatre suisse, 1875-1961, fondateur de la psychologie analytique) dans les années 1930, l’Alchimie se révèle une voie initiatique majeure de notre culture occidentale. Le travail de Jung porte essentiellement sur l’étude des rêves et permet d’interroger l’inconscient. Il a découvert ainsi que chacun de nous porte en lui une instance clairvoyante et profondément aimante, l’inconscient, qui profite la plupart du temps de nos nuits pour s’exprimer.
Les Ateliers du Phénix vous permettent d’interroger cette instance en conscience, en proposant à votre mental , votre cœur et votre corps, une expérience picturale alchimique inédite : faire apparaitre un Essuyé (un Guide sur fond rouge selon le parcours alchimique ou un Allié sur fond bleu lors d’un atelier ou d’un stage).
L’Essuyé, réalisé à partir d’une pratique alchimique du XVIIème siècle, consiste donc à faire apparaitre (et non pas peindre, pas dessiner) un visage dans une couche picturale au moyen d’un chiffon. Un lent essuyage, comme un dépoussiérage, qui fait passer ce visage de l’ombre de l’inconscient à la lumière de la conscience.
L’apparition de ce visage fait passer l’Essuyeur (celui qui réalise un Essuyé) par les 4 phases du Grand œuvre et aboutit à une image psycho-dynamique (…) dont l’impact sur l’Essuyeur est non seulement positive mais aussi très (re)constructive.
L’accompagnement énergétique et des rituels spécifiquement créés permettent de lever les résistances, blocages émotionnels et corporels pour permettre à cette rencontre, entre l’Essuyeur et son Essuyé, d’avoir lieu dans les meilleures conditions possibles.
Notre proposition se décline sous forme d’un parcours alchimique sur un an en 5 ateliers (Les Ateliers du Phénix) OU de stages à thèmes (Les Stages du Phénix), à Paris (75) et Dax (40).
Pourquoi Alchimie Blanche ?
L’Alchimie est connue pour ses deux grandes voies initiatiques : la voie des métaux (pour transformer le plomb en or) et la voie des plantes (la spagyrie). L’Alchimie blanche a en commun avec ces deux grandes voies, les 4 étapes majeures du Grand Œuvre (œuvres au noir, au blanc, au jaune et au rouge) mais se singularise :
- par son mode opératoire, s’appuyant sur une pratique picturale du XVIIéme siècle française, elle-même héritière des grands chantiers des cathédrales
- par son usage très spécifique de l’œuvre au blanc (La Licorne)
- par la rencontre entre la psychologie , intégrant les travaux de Jung et l’énergétique, et le laboratoire (l’atelier de peinture)
- par une approche essentiellement féminine qui n’exclut en rien le travail des hommes (là où l’inverse n’a pas toujours lieu)
Comment fait-on ?
En alchimie, l’expérimentateur est partie prenante de l’expérience. Ce qu’il réalise « dans son creuset » est une projection de lui-même.
Ainsi, l’Essuyage n’est pas une technique picturale mais une pratique picturale. Les Ateliers du Phénix ne proposent pas un cours de peinture mais une expérience picturale. L’atelier en est le laboratoire alchimique.
Notre médium pictural, le Glacis, est une déclinaison des 3 grands éléments de l’approche alchimique : le souffre, le mercure et le sel. Il a été inventé au XVIIème siècle par une corporation professionnelle pour réaliser de grands décors peints. Ce principe est actif et entretient avec l’expérimentateur (l’Essuyeur) un dialogue qui, inévitablement, lui fait traverser le Grand Œuvre.
L’énergétique en facilite l’émulsion.
Quel en est le but ?
Nous partons à la recherche d’informations (sous formes de visages Essuyés) qui vont nous permettre d’être à l’endroit où chacun de nous se sent dans la joie, la fluidité et la facilité.
C’est un travail exigeant et puissant, un travail qui commence dans l’ombre de l’inconscient pour aller vers la lumière de la conscience.
Fabienne Castan-Lenoble Fabienne est Gestalt-thérapeute, superviseure et formatrice. Formée à plusieurs systèmes de Reiki et à la pratique chamanique, elle se reconnait aujourd’hui dans une approche transpersonnelle de l’accompagnement psychothérapeutique. Sa pratique actuelle est le fruit des initiations qu’elle a reçues, des rencontres et de ses incessantes recherches pour relier le visible et l’invisible en Soi depuis une vingtaine d’années. Elle a créé la Voie du Phénix pour prendre soin, enseigner à tous et former des thérapeutes sur cette voie alchimique.
Nous travaillons ensemble depuis presque 10 ans, avons accompagné de nombreux groupes et revécu avec chacun d’entre eux un Grand Œuvre.
Témoignages
« Ce qui m’a frappé dans tout le parcours alchimique, c’est cette émergence possible sans compétences particulières. J’ai aimé rencontrer les univers différents de Blan et Fabienne. Et je vais retenir le pouvoir du groupe et de votre accompagnement si contenant pour nous permettre de grandir en conscience. » Virginie (Parcours Alchimique)
« Ce magicien me parle du pays de mes ancêtres dont je n’ai jamais rien voulu savoir. Après l’Essuyage, je l’ai gardé pour moi pendant 15 jours avant de le montrer à mes proches. C’est très intime et très percutant ce travail sur mes racines. » Reyhan (œuvre au noir, Corbeau)
« Ma rencontre avec les Essuyés, je ne peux pas les oublier. Des visages qui sont incarnés et qui m’ont fait travailler. Une expérience non-ordinaire, tantôt ombre, tantôt lumière. Une expérience qui parle à l’âme et ouvre de précieux sésames. Je ne peux que la recommander à qui souhaite emprunter cette façon singulière d’avancer, sur un chemin éclairé. Nul doute qu’il faille être bien accompagné, pour faire cette belle traversée. Et si le mot ESSUYÉ pouvait parler, il soufflerait qu’il permet l’Éveil de la Sagesse du Soi et l’Unité à travers les Yeux des Êtres. » Lise-Marie (Parcours Alchimique)
« Cet Essuyé représente Janus pour moi. C’est le dieu romain des commencements et des fins qui présente deux visages, une face tournée vers le passé et une vers l’avenir. Il me reconnecte à mon enfant intérieur, à cette partie de moi à réintégrer pour me vivre entier. C’est une évidence et du coup, je l’ai emmené à mon bureau où il trône sur le mur. »Étienne (œuvre au jaune, Sphinx)
« J’ai fait un énorme nettoyage tout l’été, à tous niveaux ! Hier, j’étais même dans les écuries d’Augias. Je me suis autorisée à plonger pendant 3 mois et cela a tout dissous. » Stéphanie (œuvre au blanc, Licorne)
« Depuis que j’ai essuyé la Régente, j’ai réintégré ma capacité à poser correctement mes limites. Je ne suis plus en Open Bar ! Du coup, j’ai pu transformer mes grenades en boules à facettes…Et la vie est vraiment plus cool ! » Philomène (œuvre au jaune, Sphinx)
« Ce Phénix ressemble à l’arcane du Mat dans le tarot. C’est l’initié qui se montre en moi. Je sors du bois ! Tout me pousse à être dans ma lumière. Je bosse 12h par jour et c’est très nourrissant. C’est joyeux même si ça résiste encore un peu… »Jérôme (œuvre au rouge, Phénix)
« Cette petite fille que j’ai essuyée me fait contacter l’enfant en moi et à travers elle, l’innocence, l’insouciance, le fondant, l’esthétique pur et la légèreté. La perspective de vivre avec elle pour 3 mois et pour l’éternité crée l’enchantement en moi. Impression d’avoir marché 40 ans dans le désert pour arriver à cet oasis d’abondance, de fraîcheur, de vie et d’amour. Je suis enfin née et arrivée. C’est un accomplissement ! Gratitude et reconnaissance de votre humanité artisane et féconde. « Florence (œuvre au jaune, Sphinx)
« Je suis rentré chez moi en colère contre cet Essuyé qui ne me parlait pas ! Je l’ai presque abandonné dans l’entrée. Puis, il s’est passé des choses… J’ai rencontré une pie deux jours plus tard. Et elle ne m’a plus lâché. Elle apparaissait à toutes les fenêtres et me suivait jusqu’à mon scooter quand je sortais. Un clin d’œil alchimique de mon Œuvre au noir ! » Emmanuel (entre l’œuvre au noir et l’œuvre au blanc)
« Lors de l’Essuyage, un papillon est apparu à un moment avant de disparaître pour laisser advenir un visage. C’est mon animal-totem. Il représente ma métamorphose. C’est aussi la forme de ma thyroïde qui est source de beaucoup de mes maux. Elle est reliée à l’expression de soi. Je vais écouter ce que mon Essuyé à à me dire… » Myriam (œuvre au jaune)
« Cet Essuyé avait la bouche ouverte et quelque chose d’important à dire. Je n’ai pas écouté les consignes pour le protéger le temps qu’il sèche. Il a été défiguré. Sa bouche s’est retrouvée fermée. Il ressemble à Staline maintenant ! Il me parle de mes secrets de famille, de ce qu’on doit taire et comment la vérité a toujours été modifiée dans mon histoire. Il représente l’interdiction de libérer la parole. C’est bien le cœur de mon problème ! » Carole (œuvre au noir, Corbeau, photo avant incident)